- Serge Escots, anthropologue, psychothérapeute familial, coordonnateur de DU à l’université de Toulouse Jean Jaurès campe le décor avec son intervention : toxique ou compétent ? anthropologie clinique de la parentalité et de ses empêchements.
Thème de dispositif Importance (cloud)
Colloque Copes / Afirem : où sont les parents ?
Programme Pegase
Ce programme de santé publique a pour objet d’améliorer la prise en charge en santé des jeunes enfants bénéficiant d’une mesure de protection de l’enfance (accueil collectif, famille d’accueil, suivi à domicile) en s'appuyant sur un protocole comportant des bilans de santé physique, psychique et du développement répétés jusqu’au 7 ans de l’enfant et en proposant lorsque cela s'avère nécessaire l’organisation des soins psychiques et en psychomotricité.
Enfants victimes de traite : mieux protéger pour agir et protéger
Retour à l'agendaDiagnostic, évaluation, investigation : quels outils pour les professionnels de la protection de l'enfance ?
Retour à l'agendaOù sont les parents ? Possibilités et limites de l'alliance parents professionnels en protection de l'enfant
Pourquoi le travail avec les parents est-il toujours aussi difficile ?
Les lois de 2007 et 2016 repositionnent la place des parents dans la Protection de l’Enfant en partenaires essentiels. Ce changement de paradigme entraîne des pertes de repères déstabilisants pour les intervenants. En effet, dans la réalité, le travail avec les parents conduit souvent à des incompréhensions, des malentendus, des blocages paralysants, un véritable « dialogue de sourds ». Où se situent les freins et résistances à ce changement de culture malgré l’avancée des connaissances ?
Pour une protection universelle et inconditionnelle de l'enfant !
Retour aux actualitésProtection de l’enfance : la HAS publie les résultats de son enquête sur la bientraitance
Cette enquête est la première de ce genre dans le secteur de la protection de l’enfance produite par la HAS. Elle se situe dans la continuité des enquêtes relatives à la bientraitance, initiées par l’Agence nationale de l’évaluation des établissements et services sociaux et médico-sociaux (Anesm), partie intégrante de la HAS depuis le 1er avril 2018. Elle poursuit deux objectifs :
