Depuis l’après guerre, les savoirs sur le bébé et l’enfant n’ont cessé de se développer, dans tous les domaines disciplinaires : médecine, biologie et génétique, sociologie et anthropologie, psychologie et psychanalyse, sciences de l’éducation, ...
Il est désormais classique de rappeler que le tout petit est passé, aux tamis de ces champs de recherche et d’expérience, du statut de récepteur plus ou moins passif à la figure d’acteur doté de pluri-"compétences" de plus en plus précoces, se révélant à la lumière des études dès la période anté-natale.
Etre de langage et de cognition, être de sensorialité et d’affectivité, être de subjectivité et de socialité, être de motricité et déjà être de pensée... voici le bébé à la fois décortiqué par chacune des disciplines sous ses multiples coutures, mais également diversement emmailloté selon la qualité des liens qu’elles tissent ou non autour de son berceau.
Et puis voici venu le temps d’approches renouvelées, avec l’apport des neurosciences et des sciences cognitives, avec les découvertes sur le rôle de l’épigénétique et l’influence de l’environnement - notion d’exposome -, avec les théories de l’écologie du développement, avec les méthodes de la psychologie positive...
 

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